(1961-1962)

Bien que méconnu du grand public, Claude François n’est pas un novice de la scène et des studios d’enregistrement. En effet, avant d’entamer sa carrière solo, il a intégré de nombreux orchestres et a même enregistré pour d’autres artistes à succès…

(1962)

Après de nombreuses difficultés pour enregistrer un premier disque, Claude François devient officiellement une vedette à la fin de l'année 1962 avec son titre « Belles ! Belles ! Belles ! ». Quelques mois plus tard, il sort son premier 25 cm.

(1963)

Un an après son premier succès, Claude François multiplie les concerts et le nombre de ses fans ne cesse d’augmenter. Ce disque, paru à l’automne 1963, est composé de nombreux succès dont « Si j’avais un marteau » et « Pauvre petite fille riche »…

(1964)

Fort de ses récents succès, « Si j'avais un marteau », « Si tu veux être heureux » et « Pauvre petite fille riche », Claude multiplie les galas. Pourtant, il trouve le temps d'enregistrer et publier de nouveaux titres pour ce qui sera pour lui : un été frénétique.

(1964)

Après deux ans de carrière, l’équipe de Claude François et Bruno Coquatrix décide de faire se produire l’artiste sur la scène parisienne prestigieuse de l’Olympia. Malgré l’enthousiasme du public parisien, certaines critiques seront virulentes envers le jeune chanteur.

(1965)

Au début de l’année 1965, Claude François poursuit son ascension vers le succès. Deux titres s’imposent alors dans le répertoire de l’artiste : « Donna Donna (Le petit garçon) » et « Je sais », parus sur un 45 tours en novembre de l’année précédente.

(1965)

La seconde moitié de l’année 1965 marque le début des enregistrements de Claude François dans les studios londoniens. C’est à cette période que l’artiste abandonne le style yéyé pour proposer des chansons au son plus pop.

(1966)

L’année 1966 marque une période de transition pour Claude François, qui s’oriente progressivement vers un son anglo-saxon. Ses titres s’inspirent alors de la Tamla Motown et de la country, tout en conservant quelques slows destinés aux couples.

(1967)

Après cinq années de carrière, Claude François décide de prendre en main son destin artistique en créant sa propre maison de disques, Flèche. Quelques mois plus tard, il proposera également à d’autres artistes de se joindre à lui dans cette nouvelle aventure...